Le Bureau européen des objecteurs de conscience (BEOC), War Resisters' International (WRI), le Mouvement international de la réconciliation (IFOR) et Connection e.V. (Allemagne) considèrent que la condamnation de l'objecteur de conscience Vitaly Alekseenko constitue une violation flagrante de son droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, garanti par l'article 18 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques, auquel on ne peut déroger en cas de danger public, conformément à l'article 4.2 du PIDCP.