Les candidats au Conseil






Adriana Patricia Castaño Román

Colombie

Courriel : oganesoff@hotmail.com

Langue : espagnol



Je suis Adriana Patricia Castaño Roman, militante de Red Juvenil de Medellín depuis 1996. Je participais auparavant à des organisations de jeunesse au nord-ouest de Medellín, à des activités de quartier et à des organisations militantes agissant pour renforcer la mécanique sociale du changement. En tant que militante de Red Juvenil, j'ai fait depuis 1998 la promotion de la nonviolence active, de l'objection de conscience et des droits de l'homme. En 2003, j'ai participé à l'organisation de la conférence internationale sur la résistance à la guerre de Medellín, je me suis occupé plus particulièrement de la méthodologie structurelle.

Être au conseil de l'IRG signifie beaucoup. D'abord parce que nous voulons être en relation de manière plus active et plus déterminée avec le travail de l'IRG, et aussi pour échanger sur les approches que nous avons mises en pratique en Amérique du Sud depuis quelques années maintenant. Nous avons l'expérience de la militarisation gouvernementale et des sociétés approuvant ce moyen pour maintenir les conditions économiques, politiques et sociales. Ensuite, cela fait maintenant plusieurs années que nous avons rejoint l'IRG : c'est maintenant l'heure pour nous de contribuer aux débats, de nous joindre aux processus de décision et de participer davantage à l'organisation interne d'une manière générale.










Albert Beale

Albert Beale

Grande Bretagne

Courriel : worldpeace@gn.apc.org

Langue : anglais



Je suis devenu pacifiste à l'école, un jour où quelqu'un fut pendu « pour montrer qu'il était mal de tuer quelqu'un » ; mais, à l'époque, je ne savais que cette manière de voir avait un nom.


Passé:

enseignant en sciences physiques

fondateur de Campaign Against Arms Trade en Grande Bretagne

co-directeur de publication de Peace News

militant actif de campagne relatives à la militarisation, à l'Irlande du Nord, au Moyen Orient, aux transports publics, à l'énergie nucléaire, à la censure, à la démocraties locale...

Présent:

toujours actif dans beaucoup de domaines listés ci-dessus

rédacteur de la base de données et de l'annuaire pacifiste international Housmans

correcteur de Peace News

organisateur de publications occasionnelles pour Housmans (la librairie de Peace News)

agitateur freelance.

Futur:

s'assurer que le bureau de l'IRG trouve un équilibre entre les activités initiées et les réponses aux besoins et/ou souhaits des organisations membres

travailler à utiliser les points forts du réseau de l'IRG pour aider à établir et développer des organisations de résistance à la guerre dans des pays où l'IRG n'a pas d'affiliés pour l'instant

créer des liens entre les constituants traditionnels de l'IRG et les militants de champs différents qui découvrent ou utilisent la nonviolence

poursuivre mes efforts afin de faire progresser mes compétences linguistiques (hors-anglais) au-delà du plaisir de quelques connaissances en langues étrangères.

Groupe de travail IRG:

La campagne contre les profiteurs de guerre.



Toujours :

internationaliste

athée

militant actif de la mise en réseau.












Boro Kitanov\ski

Boro Kitanoski

République de Macédoine, Balkans

Courriel : gamanet@mt.net.mk

Langues : macédonien, serbo-croato-bosniaque, anglais

Peace Action (auparavant nommé GAMA - Groupe pour l'Action AntiMilitariste)



Je fus un des fondateurs de GAMA, puis, par la suite (en 2001) de Peace Action. Mon implication dans des groupes antimilitaristes va de pair avec le développement d'une motivation toute théorique envers les actions concrètes pour la paix, la solidarité, et la justice sociale. Peace Action est affiliée à l'IRG, et est un des fondateurs du réseau régional pour l'objection de conscience : objection pour la paix (pour la région des Balkans). À Peace Action, je suis a priori coordinateur de projet mais du fait du manque régulier de militants, je travaille à beaucoup d'autres tâches nécessaires (recherche de fonds, secrétariat, gestion informatique, etc.). Je suis objecteur de conscience. Je ne vois pas mon objection de conscience comme un simple refus du système militaire, mais comme une philosophie personnelle s'appliquant au quotidien pour beaucoup de choix que nous faisons dans la vie de tous les jours, en ayant une approche pro-active envers le changement du système dans lequel nous vivons. Je suis aussi un des fondateurs d'un petit groupe informel du nom de "Liberté Carrée " ("Plostad Sloboda") qui existe depuis 2004 et réalise principalement la traduction, la publication et la distribution de littérature radicale (tout en DIY) et s'implique aussi dans l'organisations d'autres activités publiques.

J'ai été et suis toujours personnellement impliqué dans le travail de plusieurs groupes ou initiatives antimilitaristes actives dans la régions des Balkans au cours de ces dernières années.

Je suis né en 1976, et suis papa d'un beau bébé : Gorazd.

Mes motivations personnelles pour m'impliquer dans le travail de l'IRG reposent principalement sur ma vision de l'IRG : une internationale antimilitariste radicale. Quant à mes priorités au sein de l'IRG, elles seraient probablement de mettre en lien le travail de l'IRG avec d'autres groupes existants, particulièrement dans la région des Balkans (que je connais le mieux et où j'ai le plus de contacts). Il me semble important aussi de présenter le travail et les campagnes de l'IRG à des groupes ayant la même approche, compréhension politique, et une implication dans les problématiques actuellement traitées par l'IRG. Je souhaite être actif au sein du groupe de travail contre les profiteurs de guerre. Je pense pouvoir mettre ce projet en lien avec Ia campagne contre l'OTAN qui débute en Macédoine, et peut-être avec d'autres campagnes situées dans la régions des Balkans. C'est aussi important de lier les intérêts des profiteurs de guerre avec la mondialisation - nous devrons aussi y apporter une réponse globale. Cela m'intéresse pour une partie importante de la lutte mondiale contre la guerre, spécialement à la vue des campagnes militaires actuelles en Irak, en Afghanistan, et probablement à l'approche de luttes sur la situation iranienne.











Chesterfield Samba

Chesterfield Samba

Zimbabwe

Courriel : operations@galz.co.zw

Langues : anglais, shona, ndebele



Je m'appelle Chesterfield Rhodnie Samba, j'ai 31 ans et je suis gay. Je suis un shona, né le 4 septembre 1975, à Gweru au Zimbabwe, d'un père zambien et d'une mère malawi. Je parle couramment trois langues, principalement l'anglais et deux idiomes locaux, le shona et le ndebele. Je suis un militant de la cause gay et suis actuellement employé de Gay & Lesbiennes du Zimbabwe (GALZ) en tant que directeur des programmes. Je possède un diplôme du Zimbabwe en comptabilité, et je poursuis mes études dans ce domaine. Je milite depuis 1996. Ma passion c'est de défendre des droits et libertés individuelles. J'ai suivi une formation à la nonviolence en 2001, en Allemagne, ce qui m'a aidé en termes d'expérience surtout pour mobiliser et faire campagne de manière non-violente. Mon rêve est l'éradication de l'oppression, de la guerre sur la planète, et d'obtenir l'égalité des humains sans critères de races, couleurs, sexes ou inclination sexuelle. Je suis naturellement une personne calme et parfois timide. J'espère que la place que j'aurais à l'IRG m'aidera dans mon travail et que mon expérience avec GALZ sera utile à l'IRG.











Hilal Demir

Hilal Demir

Turquie

Courriel : demirlilith@gmail.com

Langues : turc, anglais

Date de naissance : 25/07/1979

Profession : sculpteur

Organisation : Izmir Non-Violent Trainer Initiative / Initiative de Formation à la Nonviolence d'Izmir


Je fus activement engagée dans l'association des Résistant-e-s à la Guerre d'Izmir entre 1997 et 2002. Cette association qui datait de 1991 a vu ses portes fermées en 2002. Lors de mon implication dans l'association je me suis occupée de féminisme, d'antimilitarisme, d'anarchisme, de nonviolence, et d'objection de conscience. Je suis toujours active dans le mouvement antimilitariste en Turquie, et me suis déclaré comme objectrice de conscience en 2005. Au sein de l'association, nous avons créé un groupe de femmes « féministes et antimilitaristes ». Après bien des débats, nous sommes devenus indépendants en 1999, sous le nom de « Féministes Antimilitariste ». Ce groupe n'existe plus. C'était alors que j'ai aidé à la création d'un groupe d'homosexuel à Izmir, ce qui était une première dans cette ville. Je me suis formée à la nonviolence pendant deux ans entre 1999 et 2001. J'ai aussi participé à plusieurs formations internationales.

À l'association des Résistant-e-s à la Guerre d'Izmir, nous avions un groupe de travail de formateurs à la nonviolence. Ce groupe de travail, maintenant appelé Initiative de Formation à la Nonviolence d'Izmir, a poursuivi son action après la fermeture de l'association avec 5 membres, dont moi-même. Nous travaillons avec différents groupes, féministes, homosexuels, antimilitaristes, syndicalistes, etc. Notre but est d'introduire la nonviolence et les moyens de s'y former, d'échanger des expérience et de créer une culture de la nonviolence. Mes priorités à l'IRG sont la nonviolence et les formations ainsi que le féminisme antimilitariste. Je souhaite donc être plus active dans le groupe de travail sur la formation à la nonviolence et le groupe de travail des femmes.











Joanne Sheehan

Joanne Sheehan

États-Unis d'Amérique

Courriel : wrlne@peoplepc.com

Langue : anglais



Ayant laissé le poste de présidente de l'IRG, que j'ai occupé pendant 8 ans, je souhaite réintégrer le conseil, ma priorité étant le développement du projet sur la nonviolence. J'ai travaillé au comité de coordination de ce projet et je suis la personne référente pour l'initiative contre les profiteurs de guerre, ?uvrant de concert avec les salariés. Je souhaite poursuivre ce travail, et pense pouvoir mieux le faire en étant au conseil. À la WRL, je participe principalement à la formation à la nonviolence et à la campagne contre les profiteurs de guerre.










Jørgen Johansen

Jørgen Johansen

Norvège

Courriel : jorgen.johansen@ikkevold.no

Langues : norvégien, suédois et anglais.



J'ai été nominé, et ai accepté de me présenter à l'élection pour le conseil de l'IRG. Depuis mon premier conseil en 1980, je n'ai pas manqué une seule réunion, et un quart de cette centaine de rencontres devrait me suffire. Mes deux raisons pour accepter sont : j'apprécie ce que revendique l'IRG, et je crains le manque de candidats. Mes 35 ans dans le mouvement m'ont appris qu'il y avait des hauts et des bas. Il est beaucoup plus dur de s'engager et d'y trouver son bonheur au creux de la vague que sur la crête. L'IRG est en attente d'une nouvelle période de développement. Si nous avons suffisamment de candidats plus jeunes et plus volontaires, je serai le premier à me retirer pour laisser ma place.

Que pouvez-vous attendre de moi ? Bien, en plus de mes activités permanentes pour la paix, contre la conscription, pour la transformation des conflits et la nonviolence (bien loin d'être toutes au nom de l'IRG), je prendrai en charge les tâches qui me seront demandées par l'exécutif, le président ou quiconque du réseau. Ne vous attendez pas à trop d'initiatives de ma part. Lors des réunions et conférences, je ferais de mon mieux pour être un bon participant.












Pelao Carvallo

Pelao Cavallo

Chili

Courriel : pelaocarb@gmail.com

Langue : espagnol



Je suis "Pelao" Carvallo de Ni Casci Ni Uniforme (Ni Casque Ni Uniforme) au Chili. Mon identité officielle est Sergio Adinson Pinto-Nuñez, mais je ne l'utilise plus guère. Antimilitariste depuis toujours, je fus - à la fin du règne de Pinochet - un leader révolutionnaire dans mon lycée. Avec d'autres libertaires, nous avons réintroduit l'antimilitarisme au Chili à travers des organisations, des groupes et des actions. C'est ainsi que nous avons participé depuis 1989 au Groupe d'Initiative Culturelle, Action Direct, CoLiCo, Intoxicación, de même qu'au premier collectif contre le service militaire obligatoire : COSMO (au début des années 90). En 1997, via les états généraux antimilitaristes, j'ai rencontré un groupe de jeunes (dont Javier Garate) et nous avons formé Ni Casco Ni Uniforme, où je continue de travailler aujourd'hui. Au niveau régional (de l'Amérique Latine), je fus porte-parole pour le Southern Cone et la promotion du CLAOC (précédemment ROLC - la coordination des objos en Amérique Latine & Caraïbes).

À l'IRG, je me propose d'améliorer notre fonctionnement en rapprochant le conseil des sections et vice-versa, de renforcer de manière significative la présence de l'IRG en Amérique latine, de coopérer au groupe de travail sur la Colombie (J'y ai soutenu des objos), et de participer aux projets se rapportant à mon expérience à Ni Casco Ni Uniforme (les profiteurs de guerre, le droit au refus de tuer, la formation à la nonviolence). Pour réinventer l'IRG sur la base de la participation, du renfort des sections, et du réseau. Pour ne dire que cela !










Sergeiy Sandler

Sergeiy Sandler

Israël

Courriel : sergeiy@netvision.net.il

Langues : russe, anglais, hébreu



Brève bio: Je suis né en 1975, en URSS, et ai émigré en Israël avec ma mère à l'âge de 6 ans. Je me suis insoumis au service militaire en 1994, et ai passé du temps en prison avant d'être dispensé. J'ai aussi rejoint la section israélienne de l'IRG (fondée par notre regretté Toma ?ik). En 1996, je faisais partie des fondateurs de l'association des objecteurs de conscience en Israël. Depuis 1999, je milite au sein du mouvement antimilitariste israélien New Profile (qui s'est récemment associé à l'IRG). Parmi d'autres actions, j'ai initié la mise en place du réseau de soutien de New Profile qui, actuellement, aide directement 5 à 10% des Israéliens évitant la conscription, quelles qu'en soient les raisons, presque tou-te-s objecteurs/trices déclaré-e-s. Je suis au conseil de l'IRG depuis 2002 et au comité d'organisation de la triennale depuis 2004.

Parmi mes priorités à l'IRG, j'ai été impliqué dans le travail concernant l'objection de conscience, ce que je pense continuer. Une attention particulière, pour moi comme pour New Profile reste la problématique des objectrices de conscience. Je pense aussi, naturellement, renforcer la coopération entre les groupes israéliens et l'IRG.












Stellan Vinthagen

Stellan Vinthagen

Suède

Courriel : stellan.vinthagen@padrigu.gu.se

Langues : suédois, anglais et allemand



Je m'appelle Stellan Vinthagen (né le 13/10/1964). Je suis un travailleur pour la paix qui habite Hammarkullen, à la périphérie de Göteborg, en Suède. J'ai participé à différents mouvement sociaux ces 25 dernières années dans le cadre de campagnes contre les centrales et les armes nucléaires, le commerce des armes, en faveur de l'environnement, des réfugiées, des droits des animaux, etc., effectuant un travail de formation et d'organisation. J'ai ainsi mis en place des formations pour l'action et la stratégie dans 12 pays sur 4 continents. J'ai été pendant 6 ans le directeur de publication de Plogbillen, journal d'un mouvement pacifiste, et l'organisateur principal de plusieurs conférences de mouvements internationaux en Allemagne et en Suède (entre 1987 et 1999). Je suis un des fondateurs du mouvement Ploughshares* en Europe, avec lequel j'ai participé à de nombreux groupes d'action, dont deux actions en tant que telles qui m'ont amené à effectuer une année entière de prison.

Je suis maître de conférence à l'Université de Göteborg, au département de recherche pour la paix et le développement, et à l'Institut d'études planétaires. Je suis aussi conférencier associé à un institut d'administration des projets internationaux pour les mouvements sociaux et les ONG, au centre pour la paix de l'Université de Madras, en Inde, et à l'institut « Citoyens du Monde » de Birmingham, au Royaume-Uni.

Mes recherches sont centrées sur les mouvements sociaux et le changement, la mondialisation, les stratégies d'action non-violente, la résistance, la transformation des conflits, le travail pour la paix, la théorie du pouvoir. La traduction de l'intitulé de ma thèse de doctorat est : « L'action non-violente - Une pratique sociale de résistance et de construction » (2005).

Mouvement de destruction non-violente de systèmes d'armement.











Tobias Pflueger

Tobias Pflüger

Allemagne

Courriel : mail@tobias-pflueger.de

Langues : Allemand et anglais

Membre exécutif du Point Information Militarisation

Membre du Parlement Européen (Membre de la Fraction Confédérale de la Gauche Unifiée Européenne/Verte nordique - GUE/NGL) : comité des Relations étrangères (AFET); sous-comité de Sécurité et de Défense (SEDE); délégation à l'Assemblée parlementaire de l'Otan; premier vice-président de la délégation pour les Relations avec les États du Golfe et du Yémen; Coprésident du groupe interparlementaire « Initiatives de Paix »

CV sur : http://tobiaspflueger.twoday.net/
stories/1382795/



Fonde et initie le Point Information Militarisation, IMI (www.imi-online.de ). Président d'IMI et son porte-parole dans le pays et à l'étranger, rédacteur en chef du journal en ligne « IMI-list » (avec à peu prés 1 000 abonnés) et de son site web.

En tant que fondateur et membre du conseil d'administration du Point Information Militarisation (IMI), je m'intéresse à la politique étrangère et militaire de l'Union Européenne, et à la contribution de l'Allemagne à cette politique. Depuis 1996, l'IMI est organisée sous la forme d'une association dont le but est de promouvoir l'option pacifiste pour la résolution des conflits et d'alerter sur la militarisation rampante de l'Allemagne et de l'Union Européenne. La campagne contre le projet de constitution européenne fut un autre centre d'intérêt de l'IMI ces deux dernières années (plus d'infos : http://tobiaspflueger.twoday.net/topics/Francais/)

Depuis juin 1994, la militarisation de l'Union Européenne est aussi le centre de mon attention au parlement européen comme coordinateur de la Fraction de la Gauche (GUE/NGL) au sous-comité de Sécurité et de Défense et au comité des Relations étrangères. La militarisation de l'Union Européenne se développe à la vitesse de l'éclair, même sans nouveau traité constitutionnel, avec le mise en place de treize bataillons européens à partir de 2007, de la force de réaction rapide comprenant 60 000 soldats et avec l'Agence de Défense Européenne qui a déjà été mise en place. J'en ai l'expérience dans mon travail quotidien au parlement. D'autres domaines de travail au sein et à l'extérieur du parlement sont la politique pour la paix, l'antifascisme, la politique d'asile en Europe et la politique antinucléaire.

Plusieurs auditions internationales ont déjà eu lieu au parlement européen organisées par le Point Information Militarisation que je co-dirige. La dernière audition eu lieu le 14 mars 2006, quand Cindy Sheehan et le major Florian Pfaff ont été invités pour une discussion sur l'objection de conscience en Europe.

J'espère être disponible pour une meilleure diffusion de l'information du sous-comité de Sécurité et de Défense vers le réseau pacifiste et antimilitariste international qu'est l'Internationale des Résistant-e-s à la Guerre.

L'étude et la carte dressée des bases militaires qui, en Allemagne, sont pertinentes quant à la politique militaire de l'Union Européenne, ce à quoi nous travaillons actuellement dans le cadre d'un tour des bases militaires, peuvent être une contribution à une étude planétaire des bases militaires existantes, et peuvent apporter des informations utiles à des organisations antiguerre, tant sur le plan local qu'international.

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