Depuis la création de l'Internationale des RésistantEs à la Guerre (IRG) en 1921, le droit au refus de tuer - l'objection de conscience - est au cœur de notre travail.
Bien que ce droit soit aujourd'hui reconnu en tant que norme internationale, il n'est que trop rarement accordé en pratique, ceux et celles se réclament de l'objection de conscience étant souvent envoyé en prison, voire pire (lire par exemple l'article sur l'Érythrée dans ce Fusil Brisé).